Étreinte Fatale, un portrait d’âme et de lumière

Il y a des images qui s’imposent comme une évidence. Étreinte Fatale fait partie de ces photographies qui s’impriment dans la mémoire.
J’ai saisi cette scène à Lyon, sous l’ombre majestueuse de la basilique de Fourvière. Le lieu n’a rien d’anodin.
Il évoque le sacré, l’éternité et le dialogue avec l’histoire religieuse de la ville. Toutefois, ce décor devient ici un théâtre dramatique et intemporel.

Le moment était unique. Le ciel menaçait, les regards brûlaient, la lumière dessinait chaque détail avec une intensité presque baroque.
Je savais que j’étais en train de capturer bien plus qu’une simple photographie.

Une confrontation symbolique entre lumière et ombre

Étreinte Fatale est la dernière image de mon carnet Angels . Elle en marque l’apogée et la conclusion.
L’histoire racontée est celle d’un affrontement entre un ange du bien et un ange maléfique.
Un duel silencieux, traduit ici en une étreinte troublante, entre douleur, tendresse et abandon.

La référence est claire. L’image rappelle les grandes Pietà de la peinture et de la sculpture.
Mais ce n’est pas une copie. C’est une réinvention. Un geste contemporain qui bouscule nos codes visuels.
Car au lieu de sacraliser le divin, je propose une version humaine, urbaine, presque rock.

Détails et textures, la force du noir et blanc

J’aime travailler le noir et blanc pour son pouvoir de suggestion. Ici, les contrastes sont poussés à l’extrême.
La dentelle noire épouse la lumière. Le blanc de la robe devient presque aveuglant.
Le maquillage, volontairement coulant, ajoute une touche d’excès. Comme si les larmes elles-mêmes participent à la mise en scène.

Chaque matière raconte. Chaque pli, chaque reflet devient langage.
En raison de cette intensité, l’image prend une dimension théâtrale.
Un spectateur me l’a d’ailleurs dit : « On dirait un opéra figé dans le temps ».
J’ai souri. L’idée m’en prie.

Anecdote du tournage à Lyon

Ce jour-là, le soleil jouait à cache-cache avec les nuages.
Je voulais une lumière dure, presque cruelle, qui sculpte plus qu’elle n’éclaire.
Il a fallu attendre. Beaucoup attendre. Mais c’était nécessaire.
Et soudain, tout s’est aligné.

Fourvière en arrière-plan, mes modèles en pleine intensité, et moi… juste le doigt sur le déclencheur.
Si bien que j’ai su, immédiatement, que cette photo deviendrait une conclusion.
Étreinte Fatale n’a pas été prise par hasard. Elle est le résultat d’une rencontre rare, à la croisée de la ville, des corps et de la lumière.

Valeur et exclusivité de cette œuvre

Étreinte Fatale n’existe qu’en 10 exemplaires . Chacun est signé, numéroté et livré avec son certificat d’authenticité.
Je crois profondément que l’art doit rester singulier.
Dans un monde saturé d’images, posséder une œuvre unique est un acte fort.

Un collectionneur m’a dit un jour : « On ne choisit pas un tirage pour remplir un mur. On le choisit parce qu’il nous hante. »
Cette phrase résume parfaitement ce que je sens pour Étreinte Fatale.
Ce n’est pas une décoration simple. C’est une présence, une émotion suspendue, un fragment d’intimité qui s’invite chez vous.

Pourquoi franchir Étreinte Fatale ?

Parce qu’elle raconte une histoire. Celle d’un affrontement intérieur que chacun reconnaît.
Parce qu’elle sublime l’intensité des visages et la puissance d’un instant suspendu.
Parce qu’elle incarne la rareté, dans un monde où tout semble reproductible.

Je ne photographie pas pour remplir des albums. Je photographie pour provoquer des rencontres.
Ici, la rencontre est frontale. Étreinte Fatale vous regarde. Elle vous interroge. Elle vous cherche.

L’art de voir autrement

Cette photo appartient à ma série Rencontres – Portraits d’âme et de lumière .
Chaque portrait est plus qu’une image. C’est une confiance visuelle.
Je veux vous inviter à voir autrement, à ressentir autrement.

L’art n’est pas là pour rassurer. L’art est là pour déplacer, troubler, parfois même déranger.
Étreinte Fatale incarne ce trouble. Elle est belle et sombre. Douce et tragique.
Elle est à la fois offrande et question.

Étreinte Fatale, un fragment d’éternité à collectionner

Je ne crois pas aux images neutres. Chaque photo porte un souffle, un silence, une empreinte.
Étreinte Fatale est née de cette conviction. Elle vous propose une intimité rare.
Elle peut devenir la vôtre.

Alors laissez-vous tenter. Accueillez chez vous une part d’ombre et de lumière.
Après tout, n’est-ce pas cela, vivre avec l’art ?